J’ai envie aujourd’hui de vous partager quelques lignes que j’ai lues sur le site de l’Institut Français des Seniors. »Il y a plusieurs appréciations de l’âge : celui de sa carte d’identité, celui que l’on ressent avoir, et celui que la société vous donne. Avec l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé le décalage entre l’âge que la société vous donne et celui que l’on a dans sa tête s’accroit. Selon l’étude que fait Kantar media chaque année, à 50 ans on se sent 10 ans de moins, « parles moi comme au quadra que je veux continuer à être ». Au-delà de 65 ans l’écart s’accroit : 19 ans de moins.
A 50 ans on déteste être appelé senior, à 70 on adore ça parce que ça évite le mot vieux. Les vieux ce sont toujours les autres… Même si, comme le dit le chat de Philippe Geluck « être vieux c’est être jeune depuis plus longtemps, c’est tout ! »
Le premier besoin de tous les seniors quel que soit leur âge, leur niveau social, leur habitat, c’est le lien social. Ce qu’aucun ne supporte bien c’est la solitude, 1 femme de +70 ans sur 2 vit seule. Le 2e besoin c’est d’être utile, une autre façon de ne pas être mis à part. C’est pourquoi 1 sur 2 est membre d’une association.
En 1968, on avait 8 ans devant soi arrivé à l’âge de la retraite. Aujourd’hui on a environ 25 ans (22 chez les hommes, 27 chez les femmes), c’est une 3ème mi-temps ! Cette perspective change tout : les seniors ont un projet de vie à construire. »
A 50 ans on déteste être appelé senior, à 70 on adore ça parce que ça évite le mot vieux. Les vieux ce sont toujours les autres… Même si, comme le dit le chat de Philippe Geluck « être vieux c’est être jeune depuis plus longtemps, c’est tout ! »
Le premier besoin de tous les seniors quel que soit leur âge, leur niveau social, leur habitat, c’est le lien social. Ce qu’aucun ne supporte bien c’est la solitude, 1 femme de +70 ans sur 2 vit seule. Le 2e besoin c’est d’être utile, une autre façon de ne pas être mis à part. C’est pourquoi 1 sur 2 est membre d’une association.
En 1968, on avait 8 ans devant soi arrivé à l’âge de la retraite. Aujourd’hui on a environ 25 ans (22 chez les hommes, 27 chez les femmes), c’est une 3ème mi-temps ! Cette perspective change tout : les seniors ont un projet de vie à construire. »
C’est là que ma mission prend tout son sens, accompagner les seniors – mais aussi leur entourage, notamment les aidants familiaux – dans la construction de leur(s) nouveau (x) projet(s) de vie, un accompagnement vers une plus grande liberté d’être, plus de joie de vivre et d’optimisme au quotidien pour garder du lien social et se sentir utile le plus longtemps possible et comme le dit Marie de Hennezel devenir un « porte-bonheur pour son entourage » !
Un peu, beaucoup, essentiellement… le bonheur se cueille chaque jour et à tout âge !
Belle journée à toutes et à tous !
Sylvie Hurel