Ce dimanche c’est la fête des grands-mères. En dehors du fait que l’origine de cette fête est un rendez-vous commercial, nous pouvons choisir d’en faire un rendez-vous familial.
Je pense à ma grand-mère maternelle. De suite, je vois en elle le pilier des réunions de famille avec oncles, tantes et cousins, de bons souvenirs joyeux.
Je pense également à ma maman qui est devenue grand-mère quand je suis devenue mère. J’ai envie de lui demander aujourd’hui ce qu’elle a ressenti au plus profond d’elle lorsqu’elle est devenue grand-mère en dehors de la joie exprimée lors de la rencontre avec son premier petit-enfant. Trop occupée que j’étais à passer du statut de fille à mère, j’avoue ne pas avoir pensé sur le moment qu’elle aussi cela pouvait la bouleverser cette nouvelle étape de vie.
Comme il n’y a pas d’école des parents, il n’y a pas d’école des grands-parents, nous apprenons sur le tas, en faisant des erreurs parfois, mais avec amour toujours.
Ainsi, nous avons tous une histoire de famille et nous gardons les traces de cette histoire. Justement, nous irons lors de l’atelier « bonheur et retraite » du jeudi 9 mars visiter ce qui se cache derrière les mots « psychogénéalogie positive », nous chercherons les forces de caractère et les qualités de la famille dont nous sommes issus, exercice très enrichissant vous verrez.
Raconter l’histoire familiale fait partie à mon sens du rôle de parent mais surtout de grand-parent afin que nos enfants, vos petits-enfants sachent d’où ils viennent : prenez le temps de regarder ensemble des photos en donnant des détails, des anecdotes.
Soyons curieux du monde dans lequel nous vivons les uns et les autres, chaque génération a des choses à transmettre…
Bon, tout cela me donne envie d’aller faire du tri dans mes photos pour créer de jolis albums…
A très bientôt,