Je vous propose de découvrir le dernier livre de Sophie Machot « Il faut savoir perdre de vue le rivage« .
Synopsis :
« Je m’appelle Rose Baron. J’ai 40 ans. Je suis experte en psychologie positive – la science du bonheur.
Mon nouvel ouvrage Une vie heureuse : les dix commandements est n° 1 des ventes depuis plusieurs mois déjà. De conférences en plateaux télé, je distille la bonne parole et dévoile à mes semblables les secrets d’une vie harmonieuse et parfaitement heureuse.
Je m’appelle Rose Baron. J’ai 40 ans… et je suis épouvantablement malheureuse. »
La vie de Rose Baron part en miettes. Son mari l’a quittée, son frère Raphaël est mort prématurément, et son médecin la pense en burn-out. Lors de la soirée d’anniversaire organisée pour ses 40 ans, elle fait momentanément disparaître tous ses soucis en buvant plus que de raison. Le lendemain, Rose reçoit un message anonyme. Un mystérieux M. lui adresse un ultimatum : « Rose Baron, tes commandements tu appliqueras ! » À partir de cet énigmatique rappel à l’ordre, Rose, assistée de sa joyeuse et fidèle bande d’amis, va mener l’enquête : qu’a-t-elle fait pendant cette soirée d’anniversaire dont elle n’a plus aucun souvenir ? Qui est M. et que lui veut-il ?
J’ai aimé ce roman de développement personnel car c’est avant tout un roman justement. Bien sûr je me suis vite identifiée au personnage de Rose semant également des graines de psychologie positive ici et là lors de mes coaching de vie, ateliers et/ou formations. J’ai ressenti de la joie, de la tristesse, de la gratitude, de l’amour au fil des pages avec Rose et ses proches. J’ai ressenti l’importance d’être bien entourée, la chaleur de l’amour et de l’amitié dans nos vies.
Encore plus aujourd’hui avec ce que nous traversons tous, je mesure la puissance des outils de psychologie positive pour apprendre à accueillir ses émotions, prendre soin de sa santé physique, mentale et sociale, cultiver la gratitude, savoir apprécier le moment présent.
Parfois plus facile à dire qu’à faire c’est vrai, néanmoins comme Rose gardons espoir, continuons à avancer et suivons ses conseils : allégeons-nous !
« On ne découvre pas de terre nouvelle sans consentir à perdre de vue, d’abord et longtemps, tout rivage. » – André Gide