Le retraité heureux
- Il apprécie… la vie, les gens, la météo, le temps dont il dispose.
- Il est dans l’action : il s’implique, s’investit, a des projets.
- Il cherche à apprendre de toute situation (positive ou négative).
- Il porte la responsabilité de son bien-être.
- Il se connecte à ses besoins et si ça ne va pas, il cherche comment changer la situation.
- Il cultive la curiosité et l’ouverture d’esprit.
Le retraité malheureux
- Il est dans l’attente d’un appel, d’une invitation…
- Il râle, il se plaint… de la société, des enfants qui n’appellent pas, de la politique, des voisins bruyants, de ses bobos, petits et grands.
- Il cherche des coupables pour son malheur.
- Il pense que les autres ne s’intéressent pas assez à lui.
- Il se fait croire à lui même qu’il n’a besoin de voir personne, il s’isole petit à petit.
Et vous, comment vous sentez-vous la plupart du temps ?
Nous vivons tous des moments de malheur et des moments de bonheur. Bien entendu, nous aimerions que le malheur cesse de suite et que le bonheur dure à jamais mais savons-nous apprécier les moments de bonheur quand ils se présentent ? Parfois oui, parfois non, parfois nous trouvons que c’est « normal » quand tout va bien. C’est comme ce proverbe qui dit « j’ai reconnu le bonheur au bruit qu’il a fait en partant »… vous voyez ce que je veux dire ?
Si aujourd’hui ça ne va pas comme vous aimeriez, demandez-vous ce qu’il est en votre pouvoir de changer. Multipliez vos sources d’amour, de joie et de plaisir. Ma recette à moi : le bonheur est dans l’action et la connexion aux gens avec lesquels je me sens bien.
Le retraité malheureux s’isole et fait du mal autour de lui par son côté aigri, râleur, pessimiste. Et si, bien au contraire, vous étiez un porte-bonheur pour vous et pour votre entourage ? Je fais écho au livre de Marie de Hennezel « La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller » ce titre est un refrain chanté sur l’île d’Okinawa au Japon, célèbre pour ses centenaires considérés par les habitants comme des « porte-bonheur. »
« La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l’absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons. » Dalaï Lama
Vous vous plaignez beaucoup en ce moment ? Servez-vous de vos plaintes pour avancer ! Nommez précisément ce dont vous ne voulez plus, ce que vous n’aimez plus, ce qui ne vous convient plus. Vous commencerez ainsi à vous reconnecter à votre motivation à agir et à transformer ce qui doit l’être…